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Thread: χρεοκοπία: the day after
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11-02-2012, 17:30 #76
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Σηκώνω τα χέρια ψηλά. Αν δεν γνωρίζεις τους τύπους που ξέρω και λένε ότι μας ψεκάζουν τότε μάλλον πρέπει να τους ψάξεις να τους βρεις γιατί θα κάνατε καλή παρέα. Η Ελλάδα είναι θύμα και όλα θα ήταν υπέροχα αν είχαμε τα λεφτά από τη Γερμανία. Yeah, right. Άρα το τεράστιο δημόσιο πάντα θα μπορούσαμε να το συντηρούμε με την τεράστια παραγωγή μας που πάλι αυτή η κακή Ευρώπη μας ζήτησε να περιορίσουμε γιατί μας φθονεί. Κάτι τέτοια διαβάζω και το μόνο που σκέφτομαι ειλικρινά είναι: :-O Kill it before it lays eggs...
- 11-02-2012, 17:34 #77
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11-02-2012, 18:28 #78
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μελίσσα ποιά πηγή να σου δώσει, για ότι ανυπόστατο λέει.
Κι οι ίδιες οι πηγές της λένε ότι δικαστήρια δεν έχουν γίνει για την Ελλάδα, εκτός κι αν δεν ξέρει να διαβάζει.
Για την Ελλάδα, σχετικά με τις αποζημιώσεις από τους Γερμανούς, αυτό, που της είπαμε κι απ' την αρχή,
δικαστήρια δεν έχουν γίνει, για την διεκδίκηση, ενώ τώρα όλα ξεκινάνε σχεδόν από μηδενική βάση.
Επιμένω να μας πει σε ποιό τεύχος του cosmopolitan τάχει διαβάσει όλ' αυτά.
11-02-2012, 18:33 #79
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μαρκελα αν καταφερεις να τα διαβασεις θα διαπιστωσεις
ΟΤΙ ΤΟ ΧΡΕΟΣ ΔΕΝ ΕΧΕΙ ΑΠΛΑ ΚΑΤΑΛΟΓΙΣΤΕΙ, ΑΛΛΑ ΟΙ ΓΕΡΜΑΝΟΙ ΤΟ ΕΙΧΑΝ ΑΠΟΔΕΧΤΕΙ ΚΑΙ ΞΕΚΙΝΗΣΑΝ ΝΑ ΤΟ ΠΛΗΡΩΝΟΥΝ ΚΙΟΛΑΣ.
11-02-2012, 18:45 #80
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ΑΛΛΟΣ ΕΝΑΣ ΣΥΝΤΑΚΤΗΣ ΤΟΥ ΚΟΣΜΟΠΟΛΙΤΑΝ ΠΟΥ ΤΟΝ ΨΕΚΑΖΟΥΝ, ΑΝΑΦΕΡΕΙ:
Jacques Delpla «η Γερμανία χρωστάει 575 δισεκατομμύρια δολάρια στην Ελλάδα»
Στις 22 Ιουνίου 2011, ο Γάλλος οικονομολόγος, Jacques Delpla , σύμβουλος της Γαλλικής κυβέρνησης και τους ίδιου του Προέδρου Nicolas Sarkozy, δήλωσε ότι οι οφειλές της Γερμανίας στην Ελλάδα για το Δεύτερο Παγκόσμιο Πόλεμο ανέρχονται σε 575 δισεκατομμύρια δολάρια (Les Echos, Saturday, July 2, 2011).
Επίσης εκτιμά ότι η Ευρώπη θα πρέπει να απορροφήσει το «πλεόνασμα» του χρέους με την επαναχρηματοδότησή του μέσω των χαμηλών επιτοκίων και με αντιστάθμισμα τις διαρθρωτικές αλλαγές.
Ο γάλλος οικονομολόγος τονίζει ότι, «οι Γερμανοί χρωστούν πολύ περισσότερα στην Ελλάδα απ’ ό,τι οι Έλληνες στη Γερμανία», καθώς επίσης και ότι «Οι Έλληνες πρέπει να καταλάβουν ότι είναι αδύνατον να διατηρήσουν το επίπεδο ζωής που είχαν πριν από την κρίση».
- Όλο η συνέντευξη, στα γαλλικά.
Lesechos.fr • Le 22 juin 2011
Jacques Delpla : « L’Allemagne doit 575 milliards d’euros à la Grèce »
L’économiste, membre du Conseil d’analyse économique, a calculé que les Allemands doivent aux Grecs au moins 575 milliards d’euros au titre de la seconde guerre mondiale. Il estime que l’Europe doit absorber l’excès de dette en la refinançant par des taux d’intérêt très bas, en échange de réformes structurelles.
L’accord des ministres des Finances, dimanche, en faveur d’une nouvelle aide à la Grèce et d’une participation du secteur privé au financement de sa dette va-t-il calmer durablement les marchés?
Les marchés, ce n’est plus vraiment le problème de la Grèce. Pour les 10 à 20 prochaines années, le financement de la dette grecque va être réalisé par deux moyens : pour une grosse moitié, par des financements publics et pour une petite moitié par les banques et les assureurs, via la fameuse « initiative de Vienne », c’est-à-dire le maintien de leur exposition. Il n’y aura plus de passage par les marchés.
L’Allemagne a renoncé à sa proposition de rééchelonnement de la dette. C’est une bonne nouvelle ?
Les Allemands n’ont pas vu que leur proposition d’échange obligatoire de titres de dette amenait tout droit à un défaut grec. Or s’il y a un défaut sur la dette grecque, c’est la faillite immédiate de tout son secteur financier qui est gorgé d’obligations souveraines. Aucune banque centrale ne peut refinancer de la dette en défaut : la BCE ne le fera pas. C’est donc l’attaque cardiaque immédiate assurée pour la Grèce avec une interruption du système des paiements domestiques, jusqu’au paiement des salaires et au fonctionnement des hôpitaux. La Grèce se retrouverait dans l’euro sans pouvoir utiliser l’euro. La seule solution pour elle serait alors de sortir de l’euro, avec une méga récession et le risque de contagion qu’on connaît.
Pour vous, c’est la solidarité financière qui doit l’emporter ?
Tout le monde connaît la fable de la cigale et la fourmi. Mais l’histoire se poursuit car : c’est la fourmi qui a financé la cigale dans le passé et qui porte donc ses dettes; les grands parents de la fourmi ont exterminé les grands parents de la cigale et ils portent donc une lourde responsabilité politique et financière. Selon mes calculs, les Allemands doivent aux Grecs au moins 575 milliards d’euros au titre de la seconde guerre mondiale. Les Allemands doivent beaucoup plus à la Grèce que les Grecs ne doivent à l’Allemagne. Et enfin, ils habitent tous les deux dans le même building, et si l’on fait imploser l’appartement de la cigale, tout le monde s’effondre. La morale de l’histoire c’est que deux choses doivent à mon avis être respectées : le contrat de la Grèce avec l’Europe et le contrat de l’Allemagne avec l’Europe.
Commençons par le contrat de l’Allemagne avec l’Europe.
L’Allemagne a payé sa réunification en offrant sa monnaie et en acceptant l’euro. De leur côté, ses partenaires se sont engagés à être sérieux. Le contrat n’a pas été honoré. Et les Allemands pensent à juste titre que l’esprit du traité de Maastricht a été violé. Aussi il faut réformer l’Europe économique. Mais il faut aussi que chacun prenne ses responsabilités et partage le fardeau des erreurs commises et des pertes engendrées. Il faut que les Européens absorbent ensemble la dette excessive des trois pays (Grèce, Portugal et Irlande) en la refinançant par des taux d’intérêt extrêmement bas, à 3% ou 4%, pendant 10 ou 20 ans. En échange, ces pays doivent faire toutes les réformes budgétaires et structurelles nécessaires, pendant longtemps. C’est la seule solution.
Les Allemands ne semblent pas très enthousiastes à cette idée ?
Les Allemands oublient leur dette politique. Il faut le leur rappeler. En 1945 les vainqueurs de la guerre ont tiré un trait sur le capital humain et physique détruit par les Nazis. On a fait la CECA et le Traité de Rome. Le passif politique et financier de l’Allemagne au titre de la guerre se monte à 16 fois le PIB allemand, on peut appeler cela la dette implicite de l’Allemagne. On ne la lui réclame pas, en échange, on lui demande de jouer le jeu européen, d’un point de vue politique et financier. Aujourd’hui, cela signifie sauver la Grèce.
Les Grecs pourront-ils rembourser leur dette ?
Ils le doivent ! Et ils le peuvent ! Ils doivent réformer, privatiser, en finir avec la corruption et le népotisme, et passer d’un déficit de -15% du PIB à l’équilibre en quelques années. Cela ramènera leur dette entre 60% et 90% du PIB d’ici 2025 à 2030. La Grèce a les moyens de prospérer : elle dispose du plus beau patrimoine archéologique du monde, d’îles magnifiques où il fait bon vivre. Je pense que le printemps arabe est une formidable opportunité pour ce pays, plate-forme de l’Europe en méditerranée orientale.
Vous excluez donc totalement l’hypothèse d’une restructuration ?
On ne peut pas empêcher les gens de se suicider. Les Grecs ont le choix entre le toboggan et le saut en parachute… sans parachute. Ils doivent comprendre qu’il leur est impossible de conserver leur niveau de vie d’avant la crise, financé par un déficit budgétaire hallucinant. Soit ils choisissent le toboggan avec une baisse du niveau de vie de 10% sur 5 ans. Et ils y ont intérêt car l’aide européenne est considérable : elle consiste en une subvention implicite de taux d’intérêt qui représente de 15 à 20% du PIB grec (12% pour les Irlandais et 10 % pour les Portugais). Mais ils peuvent aussi démocratiquement refuser de relever ce défi. Mais alors, leur économie s’écroulera ; ils n’auront plus d’aide et ils devront sortir de l’euro… sans parachute.
L’Allemagne réfléchirait pourtant sérieusement à une zone euro à deux vitesses ?
Dans l’inconscient allemand, les Grecs ne méritent pas d’appartenir à la zone euro. C’est le discours de la droite conservatrice allemande qui rêve d’une zone euro avec Autriche, Slovaquie, Finlande, Hollande -et France pour des raisons historiques. Mais un tel système, la France n’en veut pas et surtout, il viole le contrat européen de base d’après-guerre. Si vous recréez une zone euro avec tous les bons élèves de la classe et une autre les pays périphériques, la deuxième explosera rapidement en hyperinflation.
Concrètement, comment va s’organiser la participation du secteur privé dans le financement à venir de la dette grecque ?
L’idéal serait qu’on se fonde sur la répartition de l’exposition à la Grèce du secteur privé européen avant la crise et que les rachats de titres soient répartis en fonction. Cela permettra une répartition du fardeau, que j’estime à environ 100 milliards d’euros pour les banques et assureurs européens non grecs. Et cela évite que les banques qui ont joué le jeu d’un maintien de l’exposition ne soient pénalisées.
Les banques allemandes trouvent le principe du « roll over » trop strict. Elles souhaitent des incitations pour leur contribution. Qu’en pensez-vous ?
Les banquiers voudraient avoir été sauvés par les gouvernements et ne pas renvoyer l’ascenseur. Les dirigeants allemands n’ont pas été assez clairs à ce sujet avec leurs banques.
Comment faire pour qu’une crise de cette nature ne se reproduise pas ?
La solution que je préconise c’est de changer radicalement la structure du marché obligataire en Europe. On couperait les dettes de tous les pays de la zone euro en deux. D’un côté, la dette senior, dite bleue, jusqu’à 60% du PIB, que l’on mettrait en commun au niveau de la zone euro et qui serait gérée par une agence européenne de la dette. Elle représenterait 6000 milliards d’euros et deviendrait la dette la plus sûre du monde. Elle serait même moins chère que le Bund allemand ou les OAT françaises actuels car ce marché serait beaucoup plus vaste et liquide. Cela constituerait un concurrent au marché américain de la dette. A cette dette bleue serait attachée une garantie conjointe et solidaire dette, ainsi elle ne serait pas susceptible de faire défaut. A terme, ma conviction forte est qu’il n’y a pas d’avenir de zone euro sans une dette commune gouvernementale, la dette Bleue. D’un autre côté, au-dessus de ces 60% du PIB, la dette rouge, junior qui incorporerait l’ensemble du risque souverain. Elle pourrait absorber des pertes ou même faire défaut sans que cela ne provoque une catastrophe. La force des dettes bleues et rouges est que ce système donne toutes les bonnes incitations : les taux d’intérêt monteront très en amont d’une difficulté.
11-02-2012, 18:57 #81
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11-02-2012, 18:59 #82
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11-02-2012, 19:02 #83
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11-02-2012, 19:08 #84
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11-02-2012, 19:13 #85
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11-02-2012, 19:18 #86
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Αναφορικά με το αναγκαστικό κατοχικό δάνειο και τις πολεμικές αποζημιώσεις, ναι, μας χρωστάνε και ένα μικρό μέρος αποπληρώθηκε τότε. Όμως, σύμφωνα με τη συνθήκη Λονδίνου του '53 διεγράφη ένα μεγάλο μέρος του χρέους της Γερμανίας και αποφασίστηκε αναστολή στην καταβολή επανορθωτικών αποζημιώσεων, στο οποίο συναίνεσε και η Ελλάδα. Υπάρχει επίσης η (φιλογερμανική) άποψη ότι η ελληνική κυβέρνηση τότε, υπό τον Κ Καραμανλή, παραιτήθηκε από αυτές τις αξιώσεις, μέσω συμφωνιών.
Ναι, θεωρώ ότι το κατοχικό δάνειο είναι κάτι που αξίζει να το προσπαθήσουμε και πολύ καλά κάνει ο Μ. Γλέζος και όλοι του Συμβουλίου Διεκδίκησης των οφειλών. Αυτό όμως δεν αλλάζει το γεγονός ότι ζούμε σε μια χώρα με ΤΡΟΜΕΡΗ ΚΑΤΑΣΠΑΤΑΛΗΣΗ ΔΗΜΟΣΙΟΥ ΧΡΗΜΑΤΟΣ που ΔΕΝ ΜΠΟΡΕΙ ΝΑ ΣΥΝΤΗΡΗΘΕΙ ΕΔΩ ΚΑΙ ΠΟΛΛΑ-ΠΟΛΛΑ ΧΡΟΝΙΑ ΛΟΓΩ ΤΟΥ ΥΠΕΡΟΓΚΟΥ ΚΑΙ ΑΧΡΗΣΤΟΥ ΔΗΜΟΣΙΟΥ ΤΟΜΕΑ και ότι δε μας φταίει η έλλειψη των αποζημιώσεων αλλά ΟΙ ΑΛΛΑΓΕΣ ΠΟΥ ΚΑΜΜΙΑ ΚΥΒΕΡΜΗΣΗ ΔΕΝ ΕΙΧΕ ΤΑ @@ ΝΑ ΚΑΝΕΙ!!
11-02-2012, 19:28 #87
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ακριβως ιματζιν
δεν μπορουν οι συμφωνιες των δοσιλογων να δεσμευουν τον ελληνικο λαο για την αποσβεση των υποχρεωτικων δανειων, των εγκληματιων πολεμου.
ειδικα δε, οταν ο ελληνικος λαος εχει συρθει σε αντισυνταγματικες συμφωνιες τοκογλυφικων δανειων και υποτελειας για τις οποιες ποτε δεν εδωσε εγκριση.
και μαλιστα οι γερμανοι να ειναι αυτοι που αντι να αναλαβουν το τμημα του χρεους που τους αναλογει, εκβιαζουν τον ελληνικο λαο με απειλες χρεωκοπιας.
και φυσικα κανεις δεν διαφωνει ουτε για την 'κατασπαταληση" ουτε για την κλοπη δημοσιου χρηματος πουε χει επιτελεστει απο τις κυβερνησεις των τελευταιων 40 χρονων.
αυτο δεν μπορει να ειναι το αλλοθι για την ολοκληρωτικη καταστροφη που μας επεφυλαξαν με τις νεες συμφωνιες πουε καναν με τα αφεντικα τους..
11-02-2012, 19:45 #88
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Επομένως αν μπορούμε ή δν μπορούμε να εισπράξουμε το κατοχικό δάνειο μετά από 50-και-βάλε χρόνια είναι άσχετο με την κατάντια μας και με τις κινήσεις που πρέπει να γίνουν ΑΜΕΣΑ (όχι τώρα, από χθες, πέρσι, πρόπερσι).
Ούτε το να μην ψηφίσουμε τη δανειακή σύμβαση και τελικά να χρεοκοπήσουμε (γιατί δε θα χουμε να πληρώσουμε μισθούς και συντάξεις, ούτε φυσικά και το υπάρχον χρέος μας) πράγμα που θα μας οδηγήσει πιθανόν έξω κ από την ΕΕ, θα μας ωφελήσει σε κάτι.
Ενιγουει, χαιρετώ, θα επανέλθω αύριο, αν υπάρχει αντίλογος :)
11-02-2012, 19:59 #89
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το θεμα της εισπραξης του κατοχικου δανειου, ειναι η πιεση που πρεπει να ασκηθει στα επιχειρηματα της γερμανιας οτι πρεπει να συρθουμε στα μετρα ΠΟΥ ΑΥΤΟΙ ΑΠΟΦΑΣΙΣΑΝ για να ειμαστε ενταξει με τους ορους του ΔΑΝΕΙΟΥ που αυτοι μαζι με τους δοσιλογους, μας εσυραν, ΕΝΩ ΑΥΤΟΙ ΜΑΣ ΧΡΩΣΤΑΝΕ.
δεν μπορει να μας κουνανε στα μουτρα τα δανεια μας και να κατεβαζουμε το κεφαλι, ΑΣ ΤΑ ΠΛΗΡΩΣΟΥΝ ΑΥΤΟΙ ΤΑ ΔΑΝΕΙΑ με αυτα που μας κλεψανε!
ΠΡΕΠΕΙ ΝΑ ΒΓΟΥΜΕ ΑΠΟ ΤΟ ΨΕΥΤΙΚΟ ΔΙΛΗΜΜΑ.
ΤΟ ΔΙΛΗΜΜΑ ΔΕΝ ΕΙΝΑΙ ΔΑΝΕΙΟ Η ΧΡΕΩΚΟΠΙΑ,
ΑΛΛΑ ΔΑΝΕΙΟ Η ΝΑ ΠΑΝΕ ΣΤΑ ΤΣΑΚΙΔΙΑ ΟΙ ΔΑΝΕΙΣΤΕΣ ΚΑΙ ΟΙ ΠΡΟΔΟΤΕΣ!
11-02-2012, 20:37 #90
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Eντάξει τώρα αλλά δύο χρόνια και αυτοί δεν κάναν και τίποτα π.χ. ιδιωτικοποίηση των λιμανιών και των αεροδρομίων, εξυγίανση και μείωση δημόσιων οργανισμών, εκμετάλλευση ακίνητης περιουσίας, ελκυστικά πακέτα για επενδύσεις από ξένους επενδυτές, χαμηλό ΦΠΑ, καταπολέμηση της γραφειοκρατίας, μείωση πολεμικών εξοπλισμών και περικοπές στον στρατό και σε άλλα μη-παραγωγικά μέρη του δημοσίου, έρευνα για φυσικούς πόρους, άνοιγμα λογαριασμών φοροδιαφυγάδων...
Όπως είχε πει και ένας Γάλλος, ένα μέρος της ιδιωτικοποίησης των λιμανιών να είχε γίνει δεν θα χρειαζόταν δεύτερο μνημόνιο, πόσο μάλλον άλλες δραστικές αλλαγές.
Τους τα είχαν πει αυτά αλλά και αυτοί δεν έκαναν ΤΙΠΟΤΑ απολύτως (αν και θα έπρεπε να είχαν γίνει από χρόνια). Ε προφανώς τώρα δεν έμεινε κάτι άλλο από το να κόψουν, τελευταία στιγμή δεν γίνεται τίποτα. Δεν φταίνε τώρα μόνο οι «κακοί Γερμανοί» σορρυ.
Να δώσουν οι Γερμανοί τα λεφτά του β' παγκ. πολέμου αλλά wtf μετά από τόσες δεκαετίες τώρα το θυμηθήκαμε. Πολύ υποκρισία.
Νιώθω πως πιέζομαι.
04-08-2025, 22:05 in Σχέσεις και Επικοινωνία